OH MOM, IT'S APRIL
I WAS REALLY SUPRISED
SEARIOSLY, IT’S APRIL OMG APRIL APRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRILAPRIŃŠĐŁL
I LOVE PRIMAVERA
Me gusta primavera. Quiero esta tiempo, muchos arboles comienzan hacer verde y tú puedes miras a crecimiento de tu estado mental. Tu paras piensar que necesitas vestir sombreros y empiezas soñar de invierno a nuevo.
L’HOMME QUI AIMAIT LES ASCENSEURS
Harry attendait l’ascenseur devant l’immeuble. Au moment où la porte s’ouvrit, il entendit derrière lui une voix de femme : « Une seconde, s’il vous plaît. » Elle entra et la porte se referma. Elle était vêtue d’une robe jaune, ses cheveux étaient ramenés sur sa tête et de ridicules boucles d’oreilles en perles se balançaient au bout de chaînes d’argent. Elle avait un gros cul et elle était forte. Elle éclatait de partout dans cette robe jaune, seins et tout. Ses yeux étaient du vert le plus pâle et le transperçaient. Elle tenait un sac rempli de provisions marqué Vons. Ses lèvres étaient barbouillées de rouge. Peintes, épaisses, elles étaient obscènes, presque laides, une véritable insulte. Le rouge à lèvres vermillon luisait et Harry appuya sur le bouton ARRÊT.
L’ascenseur s’arrêta. Harry s’approcha d’elle. Il lui souleva sa robe et regarda ses jambes. Elle avait des jambes incroyables, tout en chair et en muscles. Elle paraissait frappée de stupeur. Il la saisit et elle lâcha son sac. Des boîtes de légumes, un avocat, du papier toilette, de la viande préemballée et trois barres de chocolat roulèrent sur le plancher. Il plaqua sa bouche contre la sienne. Ses lèvres s’entrouvrirent. Il lui souleva de nouveau sa robe. Sa bouche toujours sur la sienne, il lui baissa sa culotte. Puis il la prit là , debout, en la faisant rebondir contre la paroi de la cabine. Quand il eut fini, il remonta sa fermeture Éclair, appuya sur le bouton du deuxième étage et attendit en lui tournant le dos. La porte s’ouvrit et il descendit. L’ascenseur repartit.
Il arriva devant son appartement, glissa la clef dans la serrure et ouvrit. Sa femme, Rochelle, était dans la cuisine où elle préparait le dîner.
— Bonne journée ? demanda-t-elle.
— Chiante, comme d’habitude, répondit-il.
— On mange dans dix minutes, dit-elle.
Harry alla dans la salle de bain, se débarrassa de ses vêtements et prit une douche. Il commençait à en avoir marre de son boulot. Six ans et il n’avait pas un sou à la banque. C’était comme ça qu’ils vous piégeaient – ils vous donnaient juste assez pour survivre, mais jamais de quoi vous permettre de vous échapper.
Il se savonna soigneusement, se rinça, et laissa l’eau très chaude couler sur sa nuque. Elle emporta la fatigue. Il s’essuya, passa son peignoir, entra dans la cuisine et s’assit à table. Rochelle était en train de servir. Des boulettes de viande avec de la sauce. Rochelle faisait d’excellentes boulettes de viande avec de l’excellente sauce.
— Et si tu m’annonçais de bonnes nouvelles ? fit-il.
— De bonnes nouvelles ?
— Tu sais très bien de quoi je parle.
— Mes règles ?
— Oui.
— Je ne les ai toujours pas.
— Merde.
— Le café n’est pas prêt.
— Tu oublies tout le temps.
— C’est vrai. Et je ne sais pas pourquoi.
Rochelle s’installa et ils commencèrent à manger, sans café. Les boulettes de viande étaient excellentes.
— Harry, dit-elle. Je pourrais me faire avorter.
— Bon, dit-il. Si ça en arrive là , c’est ce qu’on fera.
Le lendemain soir, il prit l’ascenseur tout seul. Il monta au deuxième et sortit. Puis il fit demi-tour et redescendit. Il emprunta l’allée et attendit dans sa voiture. Il la vit arriver, cette fois sans sac de provisions. Il ouvrit sa portière.
Aujourd’hui, elle avait une robe rouge, plus courte et plus moulante que la jaune. Elle avait les cheveux défaits. Ils étaient très longs et lui tombaient presque jusqu’aux fesses. Elle avait les mêmes ridicules boucles d’oreilles et ses lèvres étaient encore plus barbouillées de rouge que la veille. Elle entra dans l’ascenseur et il entra derrière elle. La cabine s’éleva et il appuya de nouveau sur ARRÊT. Aussitôt il fut sur elle, ses lèvres sur cette bouche rouge et obscène. Elle n’avait toujours pas de collants, juste des chaussettes rouges qui lui arrivaient aux genoux. Harry lui baissa son slip et la pénétra. Ils rebondirent contre les quatre parois. Cette fois, ça dura plus longtemps. Puis Harry remonta sa fermeture Éclair, lui tourna le dos et pressa le bouton du deuxième étage.
En ouvrant la porte, il entendit Rochelle chanter. Elle avait une voix atroce et il se dépêcha d’aller prendre sa douche. Il sortit en peignoir, s’assit à table.
— Merde, fit-il. Ils ont licencié quatre types aujourd’hui, même Jim Bronson.
— C’est moche, fit Rochelle.
Il y avait des steaks avec des frites, de la salade avec des croûtons. Pas mauvais.
— Tu sais depuis combien de temps Jim était là ?
— Non.
— Cinq ans.
Rochelle ne dit rien.
— Cinq ans, reprit Harry. Ils n’en ont rien à foutre. Ces salauds sont sans pitié.
— Je n’ai pas oublié le café aujourd’hui, Harry.
Elle lui remplit sa tasse et se pencha pour l’embrasser.
— Tu vois, je m’améliore.
— Ouais.
Elle s’assit.
— Mes règles ont commencé ce matin.
— Quoi ? C’est vrai ?
— Oui, Harry.
— C’est fantastique, fantastique…
— Tant que tu ne veux pas d’enfant, Harry, je n’en veux pas non plus.
— Rochelle, il faut absolument fêter ça ! Une bonne bouteille de vin ! Je vais aller en chercher une après manger.
— J’en ai déjà acheté une, Harry.
Il se leva et fit le tour de la table. Il se plaça derrière Rochelle, lui prit le menton, lui renversa la tête en arrière et l’embrassa.
— Je t’aime, mon petit cœur.
Ils dînèrent. Ce fut un bon repas. Arrosé d’une bonne bouteille de vin…
Harry sortit de sa voiture au moment où elle arrivait. Elle l’attendit et ils prirent l’ascenseur ensemble. Elle portait une robe imprimée bleue et blanche, à fleurs, des chaussures blanches, des socquettes blanches. Elle avait de nouveau les cheveux ramenés sur la tête et elle fumait une Benson and Hedges.
Harry appuya sur ARRĂŠT.
— Un instant, mon petit monsieur !
C’était la deuxième fois que Harry entendait le son de sa voix. Elle avait une voix un peu rauque mais pas désagréable.
— Oui, qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-il.
— Allons chez moi.
— D’accord.
Elle pressa le bouton du troisième. Ils descendirent et prirent le couloir jusqu’à l’appartement 304. Elle ouvrit avec ses clefs.
— C’est bien, chez vous, dit Harry.
— J’aime assez. Je vous sers quelque chose ?
— Avec plaisir.
Elle alla dans la cuisine.
— Je m’appelle Nana, dit-elle.
— Moi, c’est Harry tout court.
— Ça je sais !
— Vous êtes très drôle, dit Harry.
Elle revint avec deux verres. Ils s’installèrent sur le canapé.
— Je travaille chez Zody, dit Nana. Je suis vendeuse chez Zody.
— C’est bien.
— Je me demande ce que ça peut avoir de bien !
— Je voulais dire, c’est bien qu’on soit ensemble.
— Vraiment ?
— Oui.
— Allons dans la chambre.
Harry la suivit. Nana vida son verre et le posa sur la commode. Elle alla dans la penderie. C’était une grande penderie. Elle commença à chanter et à se déshabiller. Nana chantait mieux que Rochelle. Harry s’assit au bord du lit et finit son verre. Nana sortit de la penderie et s’allongea sur le lit. Elle était nue. Les poils de son sexe étaient beaucoup plus foncés que ses cheveux.
— Eh bien ? fit-elle.
— Ah ! fit Harry.
Il enleva ses chaussures, il enleva ses chaussettes, il enleva sa chemise, son pantalon, son tricot de corps, son caleçon. Puis il s’étendit sur le lit à côté d’elle. Elle tourna la tête et il l’embrassa.
— Tu crois qu’on a besoin de toutes ces lumières ? demanda-t-il.
— Bien sûr que non.
Nana se leva et alla éteindre le plafonnier et la lampe de chevet. Harry sentit sa bouche sur la sienne. Sa langue jaillit, s’activa. Harry l’enfourcha. Il lui embrassa et lui lécha les seins, il lui embrassa les lèvres, le cou. Il continuait à l’embrasser.
— Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-elle.
— Je ne sais pas.
— Ça ne marche pas ?
— Non.
Il se leva et s’habilla dans le noir. Nana alluma la lampe de chevet.
— Dis donc, à quoi tu joues ? T’es un obsédé des ascenseurs ?
— Non, non…
— Tu peux le faire seulement dans les ascenseurs, c’est ça ?
— Mais non. Tu es la première. C’est vrai. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
— Mais je suis là maintenant, dit Nana.
— Je sais, dit-il en enfilant son pantalon.
Il s’assit, mit ses chaussures et ses chaussettes.
— Écoute-moi, espèce de salaud…
— Oui ?
— Quand tu seras disposé et que t’auras envie de moi, tu viens ici, compris ?
— Oui.
Harry était debout, tout habillé.
— Plus dans l’ascenseur, d’accord ?
— D’accord.
— Si jamais tu me violes encore une fois dans l’ascenseur, j’appelle les flics. Et je ne plaisante pas.
— Bon, bon.
Harry sortit de la chambre, traversa le living et se retrouva dans le couloir. Il se dirigea vers l’ascenseur et appuya sur le bouton d’appel. La cabine arriva. Il entra. La porte se referma. Il y avait une Asiatique toute menue à côté de lui. Elle avait des cheveux noirs. Une jupe noire, un corsage blanc, des collants, des petits pieds, des chaussures à hauts talons. Elle avait un visage mat, avec juste une touche de rouge à lèvres. Ce corps minuscule était doté d’un cul incroyable, excitant. Les yeux étaient marron, profondément enfoncés dans leurs orbites et paraissaient fatigués. Harry appuya sur arrêt. Il s’approcha d’elle et elle se mit à hurler. Il lui assena une gifle, prit son mouchoir et le lui fourra dans la bouche. Il lui emprisonna la taille et tandis qu’elle le griffait au visage de sa main libre, il lui souleva sa jupe. Ce qu’il vit lui plut beaucoup.